Mario est fauché comme les blés, mais il aurait pourtant beaucoup pour être heureux. Ses parents sont aimants, et son fidèle ami Santiago le prend toujours sous son aile et partage avec lui l’aisance financière qui lui fait défaut. Tous deux étudiants en colocation, ils sont complice de nombre de petits plaisirs et de verres… Lire la suite « Vies volées, Buenos aires, place de Mai », Matz et Mayalen Goust, Rue de Sèvres, 2018