Chaque fois que j’ouvre le Nothomb annuel, je sais que je serai sans doute frustrée par sa tendance à la fin précipitée qui donne une impression de roman bâclé dans sa seconde moitié, mais j'aime son écriture, sa langue ciselée, son ton décalé et sarcastique, une forme d'insolence...une insolence qui a peut-être un lien avec ses fins d’ailleurs.… Lire la suite Rentrée littéraire (8) « Premier sang », Amélie Nothomb, Albin Michel, 2021