La road story d’Abélard et Gaston, que tout sépare, se poursuit. Le second bougonne, le premier, plus naïf et plus solaire, voit la vie sous un jour plus lumineux. Peut-être est-ce dû à son chapeau à proverbes qui l’invite à considérer sagement les choses.
« Le succès, c’est d’aller d’échec en échec sans perdre son enthousiasme. »
L’ours avance désabusé, « l’Amérique, ça ne peut pas être pire qu’ici ! » ; le poussin rêve de cueillir un bouquet d’étoiles pour la belle Epilie. Ce qui est certain, c’est qu’aucun d’eux n’échappe à son lot de difficultés et que l’adversité pourrait conduire Gaston à modifier son point de vue sur l’amitié.
Au-delà du regard poétique d’Abélard sur le monde qui l’entoure, le scénario d’Hautière aborde des questions graves qui traversent constamment l’histoire de l’humanité : les préjugés, le fanatisme, la misère humaine et la migration.
Le graphisme et le jeu des couleurs soutiennent à merveille les effets de contraste et la tension dramatique, pour ne pas dire tragique, du diptyque.
Une merveille que ce diptyque… Tu vas pouvoir lire Alvin désormais.
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J’ai fait les choses à l’envers et commencé par Alvin, ce qui n’a pas gâché mon plaisir.
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Alors tant mieux, le plaisir c’est finalement là l’essentiel !
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Abélard… ❤
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Sans vous, je pense que je serais passée à côté d’Abélard et d’Alvin !
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