Prenez une tenancière de lupanar, Amya sa sulfureuse protégée qui manie le couteau comme nous jouions à l'élastique dans la cour de récré, un majordome homosexuel, une patronne nymphomane mariée au préfet de police, un faux mage indien et un diamant gros comme un oeuf et vous obtenez un scénario totalement déjanté. L'album s'ouvre dans… Lire la suite « Nuits indiennes », Labrémure et Artoupan, Clair de Lune, 2015