Littérature étrangère

« Cinquante nuances de Grey » de E.L James

Sab's pleasures

« Cinquante nuances de Grey » de EL James

cinquante-nuances1.jpgJ’ai cédé moi aussi à la pandémie!

En octobre dernier « Cinquante nuances de Grey » défrayait la chronique. Une campagne de promotion hors normes Un bouche à oreille incroyable présentait ce roman comme l’événement littéraire de la décennie au moins et je me devais de ne passer à côté d’une telle « perle » alors que j’étais en proie à une terrible crise de platine-attitude! Pensez-donc ! La bonne ménagère de presque cinquante ans que je suis n’a jamais fichu les pieds dans un sex-shop… Comme je préparais l’agreg, j’ai aussi raté la vogue locale des soirées-ventes de sex-toys… SHAME ON ME !!!!! J’ignorais tout du mode d’emploi et des vertus – manifestement redoutables – des boules de Geisha!!! 

Voilà donc un premier bon point décerné  à EL James: son roman a une portée didactique indéniable! A cela s’ajoute une dimension scientifique hors paire. L’hypothèse à vérifier pourrait-être…

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Littérature étrangère

« Cinquante nuances encore plus sombres » de E.L James

Sab's pleasures

« 50 nuances encore plus sombres »

Un titre plutôt mensonger dans la mesure où le second opus de cette trilogie rime franchement avec guimauve!

En toile de fond Seattle. Décidément, entre Christian et le Mémorial Grâce Hospital… j’aime cette ville!!!! Mais à l’entame du roman j’ignore encore que j’aurais mieux fait de visionner pour la énième fois mes épisodes préférés de cette série mythique. Je me pose tout de même une question existentielle: le choix du patronyme du beau et ténébreux Christian  est-il fortuit ou EL James cherche-t-elle à surfer sur la vague de ce succès télévisuel?

L’auteur nous gratifie tout d’abord d’un prologue qui se présente comme la retranscription d’un cauchemar glauque réunissant un homme violent, une enfant et une mère, « une traînée défoncée ». Ce prologue au style déplorable apporte peu à la narration. Sa seule fonction, me semble-t-il, est de prévenir le lecteur qu’Ana Steele va se livrer à…

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