Cliché pris à Madagascar, le 28 novembre 2014
Comme il s’agissait d’un déplacement professionnel je n’ai aperçu qu’un petit bout d’Antananarivo (Tananarive pour les français) où sévit la peste certes, mais surtout une très grande misère. Je retiens de cette rapide découverte, l’idée d’un pays à la fois très dur et très attachant dont nombre d’habitants sont en mode survie…des enfants qui mendient la nuit devant les bars, des jeunes filles, leur bébé sous le bras, qui s’accordent aux taxis ou aux navettes dans l’espoir d’obtenir de quoi le nourrir…mais aussi des sourires, de la débrouillardise et de la créativité.